Les idées que vous trouverez dans la timeline ci-dessous ont vu le jour lors d’un atelier d’open innovation sur le thème de la réalité augmentée au musée ! À votre tour de les commenter et de les enrichir ! Cet espace est ouvert jusqu’au 31 mars. Et ensuite ? Wezitcamp compilera, analysera et partagera les moments clés de ces conversations. Ces mêmes échanges permettront la création d’un cardboard dont les plans seront partagés en Open Source sur le site.
Vous avez déjà commenté les contenus existants et vous souhaitez ajouter une nouvelle idée à la timeline ? Ecrivez-nous à hello@wezitcamp.com
Les axes de conversation proposés ci-dessous s’intéressent aux trois moments d’une visite de musée dans laquelle est proposée une expérience de réalité augmentée :
Ces axes de conversations ne sont aucunement des conclusions figées. Au contraire, ce sont des propositions destinées à évoluer grâce à vos commentaires. Alors à vous de jouer !
Les participants des ateliers se sont accordés pour dire que les outils numériques ne devraient pas aller à l’encontre de l’expérience originelle offerte par les lieux et/ou par la scénographie déjà en place.
Dans quels contextes pensez-vous que la réalité augmentée soit indispensable, ou au contraire, totalement superflue ? Complétez vos commentaires avec des photos, des liens ou racontez-nous vos propres expériences.
Peut-on créer un modèle de dispositif type cardboard qui s’adapte à tous les téléphones ? Peut-on imaginer un dispositif qui s’augmente ou se modifie en fonction de l’usage ? Un dispositif qui puisse se porter autour du cou, mais aussi à bout de bras avec une poignée ou bien en casque ?
Professionnels, parents, amateurs de jeux de rôles, et abonnés aux loisirs créatifs, quel est votre ressenti sur la personnalisation des dispositifs type cardboard ? Y a t-il d’autres manières de s’approprier ce dispositif ? Les univers du jeu et du cosplay peuvent-ils nous inspirer davantage de nouvelles pratiques de médiation ?
L’accompagnement des visiteurs par un médiateur au début d’une expérience comprenant de la réalité augmentée ou de la réalité virtuelle est primordial. Il faut pouvoir « gommer » au maximum les aspects techniques pour qu’ils ne soient pas une barrière à l’expérience. Cette notion est à variable selon les publics : pour certains, la configuration même du téléphone relève de l’obstacle.
Quels types d’accompagnements peut-on imaginer ? Tutos, accompagnement et démonstrations physiques, autres ?
Quels peuvent être les différents moyens d’avertir les visiteurs qu’une expérience de réalité augmentée est disponible dans un espace?
Serait-il préférable d’opter pour :
– Des marqueurs physiques dans l’espace : des icônes comme on en trouve déjà pour les audioguides, des signalétiques amovibles.
– Des vibrations émanants des téléphones portables sur lesquels l’application de visite est installée ou émanant directement du dispositif de réalité augmentée.
– Des signaux en réalité augmentée visibles seulement à travers le dispositif de réalité augmentée.
Il y a quelques années, sortir son smartphone dans une exposition pouvait vous attirer les foudres d’autres visiteurs. Pourquoi être scotché à son téléphone lorsqu’on est entouré d’oeuvres et de personnes essayant de se frayer un chemin vers ces trésors ? Les temps ont changés mais qu’en est-il de l’utilisation des dispositifs type cardboard ?
Certains visiteurs hésitent à se connecter à leurs réseaux sociaux sur un dispositif qui n’est pas leur téléphone ou tablette personnel(le). Dans le cas où le musée voudrait proposer des opportunités d’interaction avec les réseaux sociaux (par exemple sous la forme de filtres inspirés de Snapchat et représentant le visiteur dans un costume d’époque), il semble préférable que le dispositif proposé prenne la forme d’un cardboard dans lequel on inclut son propre téléphone.
L’utilisation d’un dispositif tel le cardboard est-il créateur de lien entre la personne qui l’utilise et celle qui l’observe vivre l’expérience, ou est-elle au contraire aliénante, séparant les utilisateurs des non-utilisateurs?
Faut-il dédier un espace spécifique à l’expérience de réalité augmentée et/ou réalité virtuelle dans les expositions ? Ou au contraire pensez-vous qu’il est inutile – voire contre-productif – de séparer ces espaces ? Partagez avec nous vos avis et expériences.
Pour encourager les visiteurs à revenir, il faut certainement pouvoir renouveler l’expérience proposée par les dispositifs de réalité augmentée, surtout dans le cas d’une exposition permanente.
Il semble donc nécessaire de prévoir des modules et un back-office pour scénariser facilement des changements dans le parcours.
Quelles contraintes concernant le back office ou le renouvellement des contenus pensez-vous rencontrer avec un dispositif de réalité augmentée type cardboard ?
Dans quelle mesure la réalité augmentée peut-elle permettre à un musée de fidéliser ses visiteurs ? Quels liens peut-elle créer avec les contenus mais aussi les espaces du musée, notamment la boutique et les points de restauration ?